Les Messagers galactiques à Laelith

Les Messagers galactiques à Laelith
Le blog du jeu de rôle Mega/Messagers galactiques à Laelith, la cité mystique.

Bienvenue sur le blog des Messagers galactiques à Laelith, la cité mystique. Ici point de message galactique venu des étoiles par le biais de quelque diseuse d'aventure mais une aide au jeu de rôle, wargame, maquettes et figurines 28mm.
Ce blog n'est pas un résumé exhaustif des bases jdr Mega1,2,3,4,5... ni des différentes versions de la ville fantastique de Laelith, qui existent par ailleurs sur Internet. Il s'agit plutôt de points de vue sur l'évolution d'une pratique ludique initiée dès la fin des années 1980. Une pratique culturelle, savante et populaire à la fois, dont peu savent qu'elle est peut-être le lien entre ce que d'aucuns appellent le « Patrimoine immatériel des Territoires » et l'actuelle culture geek... 
Le problème de ces interprétations sera sans nul doute — comme toujours —  de ne pas correspondre tout à fait aux forums des chapelles de réseaux, aux règles de jeu et autres enjeux éditoriaux contemporains. Que le lecteur supposé de ces lignes se rassure ; ce blog est surtout destiné aux passionnés de Mondes imaginaires, à une « ambiance »  particulière de science-fiction, de maquettes et figurines 28mm. Un exposé éducatif à l'heure où le retour au Système D, l'onirisme partagé, nous aide à mieux faire abstraction — sans pour autant l'ignorer — d'une réalité sociale souvent difficile.
J'ai la chance d'être l'heureux propriétaire d'un commerce dans une petite ville de province. J'avoue y laisser traîner parfois quelques indices de ma pratique ludique. L'interaction qui s'ensuit avec les Client.e.s et leurs « jeunes » nous mène bien des fois à nous revoir pour pousser quelques figurines sur une table de jeu. À chaque fois l'effet madeleine de Proust est là et ces « adversaires » deviennent vite des Amis fidèles, ravis de retrouver ici des supports ludiques inédits ou que leur mémoire avait conservés. Cette expérience se partage désormais sur ce blog.

Pépé Dick, novembre 2021